Yannick HIPPIAS et Rudy SEBASTIEN, sont les fondateurs de DOM Manuscrit, une plateforme numérique de mise en relation qui propose des services dématérialisés comme la correction, la rédaction, la traduction, CV et lettre de motivation. Dans une interview consacrée à K@ribbean Newsweek, samedi 20 novembre 2021, ils expliquent le concept de DOM Manuscrit.
Retrouvez le site Internet ici : https://dom-manuscrit.com/
Qui êtes-vous ?

Je suis Yannick HIPPIAS, cofondatrice de DOM Manuscrit, formatrice professionnelle d’adultes en français.

Je suis Rudy SEBASTIEN, cofondateur de DOM Manuscrit, formateur professionnel d’adultes en management d’entreprises, intervenant en techniques de recherche d’emploi.
Qu’est-ce que DOM Manuscrit ?
Yannick HIPPIAS : DOM Manuscrit est une plateforme numérique de mise en relation. Elle met en contact les particuliers et les professionnels. Elle propose plusieurs services dématérialisés : la réécriture, la correction, la rédaction, la traduction, notamment la rédaction de CV et lettre de motivation.



Pouvez-vous nous en dire plus sur ces quatre catégories de proposition : correction, rédaction, traduction, lettre de motivation et CV ?
Rudy SEBASTIEN : L’idée est d’accompagner les intéressés dans leurs écrits afin de pouvoir améliorer leur style rédactionnel ou de rédiger pour eux, de sorte à ce qu’ils aient un écrit impeccable lorsqu’ils font appel à nos services. Donc, nous proposons des services pour leur permettre de travailler avec des prestataires que nous mettons en relation avec eux grâce à la plateforme.
Yannick HIPPIAS : Pour compléter, les textes transmis peuvent être à finalité personnelle ou professionnelle. DOM Manuscrit aide véritablement aux différentes démarches d’écriture et administratives.
Rudy SEBASTIEN : Nous avons pour cible des particuliers qui ne sont pas forcément des professionnels, mais nous travaillons aussi avec des entreprises.
Qu’est-ce qui vous a amené à aller vers ce secteur d’activité ? D’où vous vient cette idée ?
Rudy SEBASTIEN : Nous avons eu cette idée grâce à notre profession parce que nous sommes des formateurs professionnels d’adultes. Et lors de notre expérience, nous nous sommes bien rendu compte que beaucoup d’étudiants et même des adultes font beaucoup de fautes d’orthographe. C’est cela aussi qui nous a permis de proposer un service d’accompagnement que nous avions eu envie de digitaliser. Donc maintenant, les intéressés n’ont plus besoin de se déplacer. Ils peuvent faire appel à nos services en utilisant la plateforme. C’est une première piste qui nous a amené à concevoir cet outil. Et, puis, il faut savoir que l’orthographe est aussi un sujet d’actualité. Par ailleurs, je pense que nous répondons complètement à un besoin national et international.
Quand avez-vous créé votre entreprise ?
Yannick HIPPIAS : Dom Manuscrit a été créée en 2020, mais c’est vrai que le concept de services dématérialisés et protéiformes a été pensé en 2019, bien avant la période covidienne. La plateforme, en elle-même, a pu voir le jour cette année en octobre 2021.
Vous avez dit que la plateforme existe depuis octobre 2021, si ce n’est pas indiscret, est-ce que des personnes vous ont déjà contactés et sollicités vos prestataires ?
Rudy SEBASTIEN : Pour l’instant, nous sommes en phase de lancement. Donc, c’est vrai que les choses ont démarré doucement. En termes de statistiques, nous sommes encore en train d’étudier les différents besoins des intéressés. Je pense que pour l’instant, nous allons rester discrets sur le nombre de personnes qui nous ont contactés. Mais il y a une réelle demande. L’année prochaine, nous allons pouvoir faire des statistiques pour savoir combien de personnes nous ont contactés, et combien de services ont été rendus.
Oui c’est le lancement, donc c’est au bout d’un an, deux ans, trois ans que vous pourrez en dire plus ?
Rudy SEBASTIEN : Tout à fait, il y aura beaucoup plus de matières à dire.
Vous travaillez aussi avec des entreprises, combien vous connaissent déjà sur ce marché-là ?
Rudy SEBASTIEN : Comme je le disais, nous sommes pour l’instant dans une phase de lancement. Actuellement, nous sommes en train de développer des partenariats avec quelques structures. Bientôt, nous aurons des références. Nous préférons rester discrets sur nos collaborations actuelles.
Yannick HIPPIAS : Les partenariats ont pour objectif de développer certains services tels que le service clé en main pour la création de sites Internet.
Quels sont vos critères pour recruter des prestataires administratifs ?
Yannick HIPPIAS : Ce sont des prestataires qui sont diplômés, généralement de niveau bac +2 à bac+ 8. Ils sont notamment qualifiés pour chaque service. C’est un critère de sélection à DOM Manuscrit. Par exemple, en correction, ils ont une qualification de lecteur-correcteur ou le certificat Voltaire. Aussi, pour la correction de copie, l’enseignant correcteur est titulaire d’un titre ou encore d’un certificat d’aptitude à enseigner.
Rudy SEBASTIEN : Nous recrutons effectivement en fonction des compétences. Chaque prestataire possède des compétences spécifiques qui leur permettent d’étudier les différents besoins de nos clients. En fonction de leur parcours et de leurs diplômes, nous prenons le temps de bien sélectionner les prestataires avec qui nous travaillons. Ce sont des indépendants, des professionnels déclarés.
Quand vous me dites la correction de copie, il s’agit de quel type de copie ?
Yannick HIPPIAS : La correction de copie peut se faire dans le cadre d’une auto-évaluation, d’un mémoire, d’un rapport de stage. L’apprenant qui souhaiterait se voir corriger ses travaux peut les soumettre à l’enseignant correcteur. Cela va être une correction ponctuelle. Il n’y a pas d’engagement. Ce type de correction a pour visée de l’accompagner afin de pallier certaines difficultés. La correction de copie conviendrait à un apprenant qui aurait peut-être un petit blocage, qui aimerait juste avoir un avis, et savoir comment y remédier de manière ponctuelle.
S’agissant de la traduction, est-ce que c’est de la traduction d’une langue étrangère au français ou tout type de traduction quelle que soit la langue ?
Yannick HIPPIAS : Non, nous ne faisons pas tout type de traduction. Nous proposons de la traduction en anglais et en espagnol. Mais, c’est principalement en anglais. Les documents peuvent être traduits du français à l’anglais et vice-versa.
Rudy SEBASTIEN : Nous sommes ouverts à d’autres langues. Mais nous savons très bien que l’anglais est une langue internationale et nous la mentionnons comme langue de base de traduction. Nous accompagnons les étudiants qui souhaiteraient justement postuler dans les pays étrangers. Nous proposons aussi des lettres de motivation et des CV en anglais afin de faciliter leur insertion et intégration dans les différents pays étrangers pour les écoles de commerce étrangères.
Si je me mets à la place d’une étudiante ou d’une personne quelconque, j’ai un projet, je m’adresse à vous, j’ai besoin d’une lettre de motivation et d’un CV en français ou en anglais, quelles sont les étapes à suivre pour arriver à choisir mon prestataire ?
Rudy SEBASTIEN : Première étape : l’intéressé se rend sur la plateforme. Deuxième étape : il crée son compte personnel. Une fois son compte créé, il aura une visibilité et une traçabilité, un tableau de bord qui lui permet d’avoir différents accès personnels, de retrouver ce qui va être fait par rapport à ses demandes de services. Troisième étape : à travers les différents accès, l’intéressé poste son projet et formule sa demande dans le projet émis au prestataire. Donc, en fonction du projet formulé par l’intéressé, il y aura un retour de la part des prestataires qui seront concernés. En admettant que c’est un étudiant qui souhaiterait faire relire et corriger son mémoire, il poste son projet de correction de mémoire. Il donne des indications sur ce qu’il souhaiterait faire. Quatrième étape : nos prestataires pourront eux aussi formuler une offre par rapport au projet de l’intéressé. Et c’est en fonction de toutes les offres que l’intéressé pourra choisir un des prestataires qui répondra au mieux à ses critères, à ses besoins. Donc, les prestataires peuvent proposer leur offre en fonction du tarif, en fonction du temps qu’ils vont passer, peut-être des touches personnelles qu’ils pourraient apporter. C’est assez ludique parce que l’intéressé peut effectivement choisir son gagnant. Et donc, en cinquième étape : une fois que l’intéressé va choisir le prestataire qui va effectuer les travaux, la marche à suivre est plutôt simple. Il sélectionne le prestataire qui est le gagnant, qui est celui qui va apporter les modifications des services qui auraient été émises par l’intéressé. Et ce sera lui qui pourra également être amené à échanger si nécessaire avec l’intéressé. Les documents sont échangés à partir de la plateforme. Il n’y a pas d’échanges en externe. Tout est sécurisé afin d’avoir une confidentialité vis-à-vis des documents. C’est uniquement le prestataire qui va traiter la demande, et qui aura une visibilité sur les documents qui seront à traiter.
Yannick HIPPIAS : Pour compléter, je voudrais dire que la tarification se fait sur mesure. Ce qui peut être très intéressant. Nous prenons en compte le budget de l’utilisateur. En effet, l’utilisateur définit une fourchette de prix sur la plateforme au moment où il formule son projet, c’est vraiment lui qui va choisir le prestataire qui pourrait apporter une correction sur ses travaux en fonction du prix qui lui sera proposé. Donc, c’est là où je trouve que nous nous démarquons un petit peu des autres parce qu’il y a une possibilité de choisir et de recevoir un service en fonction de son budget.
Donc si j’ai bien compris, je suis une utilisatrice, j’ai un projet, je peux payer tel montant, et en fonction du montant indiqué, je suppose que tous les quatre prestataires vus en ligne me font une proposition ?
Yannick HIPPIAS : Nous n’avons pas que quatre prestataires. Pour tout vous dire, ce sont uniquement ceux qui sont spécialisés dans le domaine qui pourront intervenir. Ils proposent leur tarification à l’utilisateur et c’est à ce moment-là que l’utilisateur choisira le prestataire qui lui proposera la meilleure offre selon son budget et l’offre qui correspond à ses besoins.
Après bien entendu, si l’utilisateur dit qu’il a tel budget et que finalement cela coûte un petit peu plus cher, dans ce cas-là, le prestataire qui aura préalablement évalué le coût de la prestation en fonction de la demande justifiera sa tarification. Suite à cela, ils vont essayer de faire une sorte de négociation pour convenir du coût du service. Parfois, cela va être négociable et d’autres fois, effectivement, cela ne pourra pas être toujours négociable. Mais il y a quand même cette possibilité de négocier le tarif.
Rudy SEBASTIEN : Cela peut être en fonction du budget comme en fonction du temps qui sera investi aussi. Si un prestataire propose quatre jours et, un autre, cinq jours. Tout va dépendre de l’urgence peut-être, du besoin de l’intéressé.
J’ai vu quatre prestataires en ligne. Or, vous m’indiquez qu’il y a en plus.
Yannick HIPPIAS : Oui, c’est normal parce qu’en fait les noms figurant sur l’interface changent. Mais il faut vraiment porter attention pour s’en apercevoir. On ne le voit pas d’emblée. Ce n’est véritablement que lorsque l’utilisateur s’inscrit et qu’il formule sa demande, qu’il parvient à voir les prestataires qui l’intéresse et qu’il se rend compte de toutes les possibilités existantes sur la plateforme.
Rudy SEBASTIEN : Sur la plateforme, chaque utilisateur dispose d’un compte personnel. Et vis-à-vis de leur compte personnel, ils ont la possibilité de déposer de l’argent directement sur leur compte pour après pouvoir l’utiliser de façon interactive sans utiliser à chaque fois leur carte bancaire. Cela leur permet d’avoir une monnaie virtuelle. C’est vraiment de l’argent qu’ils déposent mais ils peuvent utiliser les sommes dont ils disposent sur la plateforme pour pouvoir se voir offrir différents services.
Yannick HIPPIAS : Et s’ils ne l’utilisent pas, ils peuvent récupérer leur argent. Donc, c’est intéressant.
Si j’ai bien compris, vous expliquez qu’il y a deux options, soit l’utilisation de la carte bancaire soit le compte bancaire virtuel rechargé par de l’argent et utilisé pour payer le prestataire.
Yannick HIPPIAS : Oui. Il s’agit de déposer une certaine somme d’argent et de pouvoir payer avec cette somme qui est stockée. Par exemple, je dépose 50 euros. J’aimerais qu’on me corrige ma lettre de motivation. Le prix est de 25 euros. Sur la somme dépensée, il me restera sur mon compte crédité 25 euros que je pourrai utiliser une prochaine fois, pour un autre service.
Rudy SEBASTIEN : Cela peut être intéressant pour les entreprises qui ont plusieurs demandes par semaine. Plutôt que d’utiliser leur carte bancaire à tout moment, elles savent qu’elles ont une somme qui est stockée sur leur compte virtuel. Et peu importe l’endroit, où elles se situent. Puisque notre plateforme est quand même responsive. Cela veut dire qu’on peut l’utiliser sur n’importe quel type d’outil numérique. Et si vous êtes chez vous ou à l’extérieur, vous pouvez avoir accès à votre compte avec votre téléphone ou votre ordinateur et faire une demande. C’est là où cela devient peut-être intéressant pour ceux qui se déplacent souvent et qui n’ont pas toujours leur moyen de paiement avec eux.
Je suis maintenant un prestataire, je propose mon montant, et cela va correspondre à ce qu’une personne va demander en fonction de son budget, est-ce que j’ai un compte virtuel sur lequel je suis rémunérée, où l’utilisateur m’envoie l’argent ?
Rudy SEBASTIEN : Les prestataires possèdent aussi leur compte et leur tableau de bord. Ils savent combien d’accompagnement ils ont en cours et combien de rétribution ils ont eu par rapport au service qu’ils ont rendu. Une fois qu’ils ont accompli une prestation, ils se voient créditer des montants sur leur compte. À partir de là, ils pourront lorsqu’ils le voudront retirer les sommes pour qu’elles soient virées sur leur compte bancaire. C’est relié à leur compte bancaire. C’est très sécurisé. En réalité, il y a une réelle traçabilité sur tout ce qui se fait.
Yannick HIPPIAS : Oui, oui, tout à fait, cela passe par nous. Les prestataires nous formulent leur demande de retrait que nous devons valider et ce n’est qu’à partir de ce moment-là que le virement est effectué.
Les prestataires sont des indépendants, étant donné qu’ils utilisent votre plateforme, touchez-vous un pourcentage, comment vous vous rémunérez, comment cela se passe ?
Rudy SEBASTIEN : La rémunération se fait un peu différemment. Disons que c’est nous qui avons une rétribution sur ce qu’ils vont offrir comme service. Donc pour l’instant, l’utilisation de la plateforme est gratuite. Il est possible que cela change par la suite. Mais pour le moment, les prestataires peuvent utiliser la plateforme gratuitement. Et en fait, nous allons juste avoir une rétribution sur ce qu’ils vont accomplir en termes de missions.
Si ce n’est pas indiscret, c’est un pourcentage de combien à peu près, vous prenez combien par exemple sur 30 euros ou 25 euros comme vous avez dit ?
Rudy SEBASTIEN (rire) : Je pense que nous préférons rester discrets sur le pourcentage exact. Mais effectivement, nous avons une rétribution qui portera sur chaque service.
Comment une personne peut vous contacter ?
Rudy SEBASTIEN : Nous sommes visibles sur les réseaux sociaux. Nous avons un compte Instagram, Facebook. Actuellement, nous essayons de mieux nous référencer sur Internet. Notre plateforme reste accessible si des intéressés veulent s’y rendre. Et nous disposons d’un numéro de téléphone : 0690 94 14 43, permettant aux intéressés de nous contacter ou encore à des prestataires de nous joindre si jamais nous voudrions vendre un de leur service.
Yannick HIPPIAS : On peut aussi nous contacter par mail à contact@dom-manuscrit.com.
J’ai vu que vous êtes membre de GuadeloupeTech et que vous avez participé à un événement en novembre 2021, comment avez-vous été amené à devenir membre de GuadeloupeTech, comment se passe le réseautage ?
Rudy SEBASTIEN : Le réseautage s’est fait naturellement puisque nous sommes quand même sur une offre digitalisée et donc cela répond au développement technologique des Antilles. Promouvoir l’action digitale aux Antilles, c’est un sujet d’actualité. Naturellement, nous nous sommes orientés vers GuadeloupeTech pour leur communiquer ce que nous faisons. Et nous n’avons eu aucune difficulté à nous intégrer dans ce réseau puisque nous proposons un service qui est quand même novateur aux Antilles, et qui passe par la dématérialisation.
Yannick HIPPIAS : Pour ajouter, il n’y a pas de plateforme de mise en relation qui propose les services que nous offrons actuellement aux Antilles.
Concernant la rédaction, c’est le prestataire qui va rédiger quelque chose pour une personne, qu’est-ce que c’est en fait ?
Yannick HIPPIAS : Cela va dépendre. Il y aura de la rédaction de plusieurs types d’écrits. Cela peut être de la rédaction web, de la rédaction technique, une rédaction un peu spécifique puisqu’on va rédiger des notices. Cela demande au prestataire d’avoir un domaine de spécialité pour pouvoir le faire.
Nous pouvons faire également de la rédaction de textes de cérémonie : cérémonie nuptiale ou cérémonie funéraire. C’est vrai que nous brassons plusieurs types de rédaction. Cela va être vraiment en fonction du besoin de l’utilisateur.
Vous avez déjà plusieurs prestataires, êtes-vous à la recherche de prestataires supplémentaires ou pas, surtout dans des domaines particuliers ?
Yannick HIPPIAS : Oui, pour la correction de copie, nous en avons besoin en ressources humaines, en éco-gestion, en physique-chimie et en comptabilité.
Un dernier mot pour nos lecteurs, pour des étudiants, des personnes qui vous solliciteront ou des futurs prestataires dans un futur lointain ?
Yannick HIPPIAS : L’intérêt de l’utilisation de la plateforme, c’est de pouvoir bénéficier d’un service en fonction de son budget. C’est un tarif négociable. Pensez à vous rapprocher de nous parce que nous avons plusieurs offres qui sont intéressantes et qui répondent véritablement au contexte dans lequel nous nous trouvons actuellement. Nous sommes en pleine crise économique. Cela reste quand même une opportunité assez intéressante de pouvoir négocier le tarif d’un service.
Rudy SEBASTIEN : C’est vrai que nous avons plusieurs services qui répondent à différents besoins que ce soit au niveau de l’insertion, des écrits personnels ou professionnels. Et tout cela peut être possible grâce à une plateforme novatrice j’ai envie de dire aux Antilles. Nous ne sommes pas limités à travailler avec les prestataires qu’ils soient en Guadeloupe, en Martinique ou en Métropole. Nous pouvons aussi accompagner des personnes qui sont localisées dans tous les départements français. C’est là qu’il y a un réel intérêt d’utiliser notre plateforme peu importe l’endroit où les clients sont situés, ils peuvent effectivement avoir accès à un service de façon dématérialisée. Donc je pense que c’est une possibilité qui reste intéressante.
Vous dites que c’est digitalisé, vous visez les départements français, mais en fait avec le digital, vous ciblez le monde, donc cela peut être un Antillais qui est au Japon ou en Australie ?
Yannick HIPPIAS : Voilà, nous n’avons pas de limites géographiques.
Rudy SEBASTIEN : C’est vrai que notre projet actuellement se développe sur une envergure départementale et nationale. À termes, nous visons effectivement l’international.
Notre rédaction a retenu deux citations.
Yannick HIPPIAS : « Nous prenons en compte le budget de l’utilisateur »
Rudy SEBASTIEN : « Nous répondons complètement à un besoin national et international avec notre plateforme numérique »
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Salaura DIDON
Catégories :Interview